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QUOI DE NEUF 

Claude et Sylvie 
Voyage au coeur de l'humanitaire

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Début du Projet

Il y a presque 25 ans, un homme a décidé de transformer la réalité médicale d’un pays entier. Jörg Peltzer, surnommé Pele, chirurgien suisse au caractère optimiste et courageux, a débarqué en Éthiopie avec une idée audacieuse : offrir des soins chirurgicaux de qualité là où ils faisaient cruellement défaut. Son projet ? Créer une unité de chirurgie traumatologique à l’hôpital de Jimma, dans le sud du pays, une région où des millions de personnes n’avaient accès à aucune prise en charge digne de ce nom. En Éthiopie, il est affectueusement connu sous le nom de “le petit blond qui répare les os”.


Défis et Solutions

Mais comment faire face à un tel défi ? Les obstacles étaient nombreux : financement, formation, infrastructure et logistique. C’est là qu’entre en scène son audace entrepreneuriale : parcourir des kilomètres à vélo pour financer des opérations ! En 2006, il se lance dans un défi incroyable : traverser l’Éthiopie à vélo, récoltant des fonds auprès de sponsors et d’entreprises pour financer les premières opérations. Résultat ? En un seul tour à vélo, 1350 opérations ont pu être réalisées. Oui, vous avez bien lu : 1350 vies sauvées, tout ça grâce à un simple tour de pédales !

Impact Actuel

Mais ce n’était que le début. En 2009, il fonde la Fondation Go Star, et aujourd’hui, ce sont pas moins de 3000 opérations annuelles qui sont réalisées dans cette unité. Comment a-t-il réussi à maintenir ce projet à flot année après année ? La réponse réside dans l’implication de plus de 80 chirurgiens suisses qui se sont relayés pour former les équipes locales pendant 16 ans. Ces médecins n’ont pas seulement apporté leur savoir-faire, mais aussi une véritable culture de solidarité et de résilience.

Aujourd’hui, l’hôpital de Jimma est devenu autonome et joue un rôle clé dans la formation des futurs chirurgiens éthiopiens et du continent africain. Mais l’histoire ne s’arrête pas là ! Le Dr Peltzer, avec sa détermination inébranlable et son esprit un peu fou, continue de se battre pour faire grandir son centre de traumatologie en Éthiopie, changeant ainsi des centaines de vies chaque année grâce à son engagement.


Avenir

Comment tout cela est-il possible ? Grâce à des événements comme les Bike Challenges, où des cyclistes pédalent pour récolter des fonds qui permettent de financer des lits, des opérations et des soins vitaux.

Le Dr Peltzer nous a montré qu’avec une vision claire, une volonté inébranlable et une bonne dose de créativité, tout est possible. Il nous enseigne que chaque défi, aussi colossal soit-il, peut être relevé, un pas à la fois.

Et le plus incroyable, c’est que ce n’est pas fini… Vous voulez savoir ce qui arrive ensuite ? Restez à l’écoute, car l’histoire de l’Éthiopie et de son unité de chirurgie traumatologique est loin d’avoir dit son dernier mot ! 🌟



« Stay hungry, stay foolish » (« reste affamé, reste imprudent, insensé, fou ») - citation de Steve Jobs.





Connaissez-vous Babette Keller Liechti, cette femme qui a un rêve ambitieux : éradiquer le coton de notre planète 🌍


Et ce n’est pas une idée farfelue ! Saviez-vous que la production de coton est extrêmement gourmande en eau ? La plupart des pays producteurs n’ont même pas accès à l’eau potable, et les conséquences environnementales sont dramatiques. Le coton reste aujourd'hui la fibre la plus produite au monde, principalement en Chine et en Inde, et sa production continue d’augmenter. Pour produire un kilo de coton brut, il faut environ 10 000 litres d’eau, entraînant ainsi pollution et désertification.


La catastrophe de la mer d'Aral


Une des plus grandes catastrophes écologiques en témoigne : la mer d’Aral, en Ouzbékistan. Ce lac salé était autrefois le quatrième plus grand du monde. Aujourd'hui, il n'est plus qu'un désert stérile, résultat de l'utilisation massive de pesticides par les Soviétiques pour la production de coton, et des tempêtes de sable qui ont emporté ces substances toxiques bien au-delà de ses rives.


Nous avons pu constater ce désastre de nos propres yeux en janvier 2024, lors de notre voyage de découverte à la mer d’Aral– une expérience inoubliable, partagée sur : Mer d’Aral (trip de 2 jours) - www.polarsteps.com/SylvieBetrix/677010-voyage-decouverte-gaia


Une alternative durable


Face à cette réalité, Babette Keller Liechti a pris les choses en main. Elle a développé des gants démaquillants réutilisables et hygiéniques, en fibres de pointe. Ces gants éliminent en douceur le maquillage et les impuretés, laissant la peau propre et éclatante. Bien plus qu'un accessoire, ils incarnent un véritable engagement envers notre beauté et notre planète. C’est un adieu aux disques de coton et lingettes jetables qui s'accumulent chaque jour.


Mais Babette ne s’est pas arrêtée là. Elle a aussi conçu des gants pour un nettoyage doux et efficace des plaies, utilisables en milieu hospitalier et médical. Ces gants, lavables à 95°C, sont réutilisables pendant plusieurs années, réduisant ainsi les déchets médicaux.


Et la cerise sur le gâteau ? Babette Keller Liechti a fait don de plusieurs centaines de ses gants, que nous livrerons prochainement au Centre de chirurgie traumatologique de Jimma. Un immense merci à toi, Babette, pour ton engagement et ton dévouement à notre planète. Nous avons hâte de voir l'impact de ton geste généreux.


Alors, rêveuse ou visionnaire ?


À vous de décider. Mais une chose est sûre : Babette Keller Liechti nous invite à repenser notre consommation et à adopter des modes de vie plus durables.


Et vous, êtes-vous prêts à faire partie du changement ?


"Les grandes actions commencent toujours par un petit geste."

— Babette Keller Liechti

Qui n'a jamais rêvé de remonter le temps ? De revoir un proche ou de revivre un moment marquant ? Et si on vous disait que c'est possible, en quelque sorte, en vous rendant en Éthiopie ?!


Un décalage temporel étonnant

Saviez-vous que le calendrier éthiopien a 7 ans et 8 mois de retard par rapport au nôtre ? Oui, vous avez bien lu. En Éthiopie, nous sommes actuellement en 2017, le 12 mars 2017 pour être précis (si nos calculs sont corrects) !


Les spécificités du calendrier éthiopien

Le calendrier éthiopien compte 12 mois de 30 jours, plus un treizième mois de 5 ou 6 jours. Son point de départ est aussi décalé : l'année zéro ne correspond pas à la naissance du Christ, mais à l'annonce de sa naissance par les Rois mages, arrivés en Éthiopie après un périple de 7 ans. C’est ce qui crée cet écart avec notre calendrier grégorien.


Et l’heure, elle est aussi différente ?

Mais ce n'est pas tout ! L'Éthiopie a également un système horaire qui lui est propre. Oubliez les notions de matin et d'après-midi telles que nous les connaissons. En Éthiopie, on parle plutôt d'heures de jour et d'heures de nuit. Le soleil se lève à une heure (soit 7h du matin pour nous) et se couche à midi (12h en temps éthiopien). Ainsi, ce que nous appelons midi correspond à 6 heures en heure éthiopienne. De quoi s'y perdre, n'est-ce pas ? Alors, avant de prendre rendez-vous, assurez-vous de bien préciser si vous parlez de l'heure locale ou de l'heure internationale ! On l’a bien compris il va falloir sortir avec notre montre à l'envers pour nous repérer en Éthiopie 😂


Un instant suspendu

Imaginez… retourner au mois de mars 2017, un rêve éveillé : l’année de décès du papa de Sylvie. Au mois de mars, il était encore là 🫶 J’aimerais tant pouvoir le revoir et lui parler une dernière fois. Ce serait juste magique, non ? 💖 ✨ Comme le disait si bien Auguste Comte, « Le temps est un fleuve qui nous emporte ».


Vous voulez en savoir plus sur ce voyage dans le temps ? Rejoignez-nous sur Polartsteps pour découvrir tous les secrets de l'Éthiopie et de son calendrier unique.




 

 

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